Guillaume Blanc, historien de l'université Rennes 2, met au jour dans son dernier ouvrage, *L'invention du colonialisme vert*, les contradictions des pays développés qui détruisent chez eux la nature qu’ils croient protéger là-bas, prolongeant, avec une stupéfiante bonne conscience, le schème d’un nouveau genre de colonialisme : le colonialisme vert.